Un chroniqueur du Washington Post affirme...Nabil Ammar dément
Le ministre des Affaires étrangères, de l'immigration et des Tunisiens à l'étranger, Nabil Ammar, a nié avoir quitté le sommet "Al Monitor", en colère, réfutant les fausses informations contenues dans un post d’un chroniqueur du Washington Post, sur la plateforme «X», indiquant que le ministre tunisien a quitté le sommet, en colère, après les questions qui lui ont été posées par la journaliste Amberin Zaman, sur la démocratie en Tunisie et la gestion des opposants.
Nabil Ammar a déclaré, dans un tweet, sur son compte sur la plateforme X : «J'ai participé, à New York, à un dialogue interactif avec le Centre d'études Al Monitor...j'ai passé en revue, clairement et sans ambiguïté, les positions de la Tunisie sur tous les sujets abordés dans les questions de la journaliste qui a manipulé l'interview».
Et d'ajouter qu'en attendant que le Centre publie l'enregistrement intégral de l'interview, la journaliste a, quant à elle, réfuté les allégations et les mensonges que certaines parties suspectes cherchent à véhiculer.
Le département des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Tunisiens à l’étranger a, pour sa part, publié un résumé des déclarations du ministre, lors du dialogue susmentionné, dans lequel il a déclaré que la Tunisie a vécu pendant près d’une décennie, après 2011, comme une fausse démocratie dans laquelle des parties étrangères ont interféré.